La victoire de Valérie Pécresse rabat les cartes pour la Présidentielle. Entendons-nous bien : elle n’a strictement aucune chance de gagner. Il est peu probable que les électeurs LR proches de Ciotti votent pour la Présidente d’Île-de-France, jugée Macron-compatible. En tentant une droitisation de son programme dans un rôle de colonel Tapedur improbable, elle amènera le centre-droit à choisir Macron dès le 1er tour. Elle n’a donc aucun intérêt à jouer cette carte. Et, en chassant sur les terres du Président, elle va grappiller des voix à l’hôte actuel de l’Élysée, l’affaiblissant au risque d’être non loin des candidats Le Pen et Zemmour, sur lesquels les électeurs LR auront reporté leurs voix. Quant aux électeurs de gauche, ils voteront pour un candidat susceptible d’être au 2e tour. La gauche politique de ce pays a eu le tort durant de trop nombreuses années à appeler leurs électeurs voter à droite pour faire barrage au Front National. Cette fois-ci, emportés par la haine non feinte vis à vis de l’actuel Président, certains d’entre eux risquent de franchir le rubicon.
De plus en plus de Français qui, pourtant, avaient suivi le gouvernement dans ses délires sanitaires ont l’impression d’avoir été menés en bateau. Le gouvernement s’est piégé lui-même. Il fallait protéger les plus fragiles. Pas de chance : le vaccin ne les protège plus. Il fallait donc les protéger en évitant que le virus leur soit transmis. Pas de chance : le vaccin n’empêche pas les transmissions. Selon le docteur Sabatier et le professeur Fantini, les injections expérimentales à base d’ARNm éloigné des variants actuels seraient en train de faciliter l’infection des vaccinés. Les deux scientifiques mettent en garde sur les dangers de la 3e dose. Au Royaume-Uni, ils en sont même à réduire le délai entre la 2e et la 3e dose à 3 mois. Face à une épidémie de vaccinés, Israël envisage une 4e dose. Je suis d’ailleurs très inquiet pour tous ces gens, mes proches, mes amis qui ont choisi de faire cette 3e injection expérimentale sans aucune sorte de bénéfice, sans en mesurer tous les risques qu’elle peut comporter.
A moins de 5 mois du 1er tour de l’élection présidentielle, n’attendons pas de Macron qu’il avoue s’être trompé à peu près sur tout. Il ira jusqu’au bout, à l’aide de pleins pouvoirs que lui ont conféré les députés godillots de LaREM et du MODEM. Depuis plusieurs mois, je crois dur comme fer qu’il ne sera pas réélu. Le souci, chez moi, est de croire que la prophétie auto-réalisatrice s’appliquera au reste du monde.

Le conseil scientifique pourri annonçait déjà dès le 20 aout que les injections étaient nases, pour mémoire ils l’ont avoué juste après la loi du 5 août qui a éjecté les soignants impurs non tirés du bras.. en détruisant le contrat de travail au passage…
On se retrouve avec une connerie à deux doses
1° les soignants purs et les patients purs vont s’infecter mutuellement dès qu’un virus saisonnier va taper aux portes des maisons familiales, oui parce que les infections viennent aussi de dehors,
2° De mémoire on voit sur ces avis réapparaitre les « nosocomiales » les notions de « grippe » et tous les bons vieux virus respiratoires classiques d’avant 2020. Les problèmes nosocomieux n’ont jamais été résolus, ce n’est pas un vaccin qui va le faire..
Aaahh la bande de déconneurs..
Ceux qui vont se faire cobayer sont volontaires, puisque personne apparemment n’a l’idée de faire signer de papier de responsabilité. C’est déjà dommage parce qu’au dessus personne n’est responsable de rien.
C’est un organisme européen pourri jusqu’à l’os qui a accordé l’autorisation, en dessous tout le monde s’est immunisé et nombre de toubibs ne comprennent pas bien les effets adverses observés….
et bonjour pour faire reconnaitre la relation de cause à effet après 14 jours selon mes infos..