A la lueur de la catastrophe sanitaire qui se tient à Manaus sous nos yeux esbaudis et ébahis, il ne faut pas être grand clerc pour comprendre que le vaccin ne sera que d’une utilité relative face aux nouveaux variants. Mobilisé à produire des vaccins aussi coûteux qu’inutiles face à un virus non immunisant, Big Pharma n’aura bientôt plus les capacités à produire les molécules et les traitements dont nous aurions grand besoin, comme l’ivermectine, la ciclosporine, l’hydroxychloroquine, l’azithromycine ou même plus prosaïquement la vitamine D, le zinc et l’aspirine. Il y a quelques mois, nous avions failli manquer de paracétamol, d’anesthésiant.
Disposons-nous des stocks d’oxygène pour faire face au variant brésilien s’il avait la mauvaise idée de se déverser sur notre territoire, alors que les cimetières de Manaus se remplissent désormais au rythme de la pénurie ? Autrement dit, disposons-nous des capacités à produire massivement de l’oxygène au cas où le scénario brésilien s’appliquerait à la France ? Nos autorités – au bord de la crise de nerf – nous expliquent désormais que nos masques de catégorie 2 ne seraient plus assez fiables. Avons-nous en stock suffisamment de masques de catégorie 1 ?
Depuis quelques temps, les provax l’ont mis en veilleuse. Le vaccin à ARN Messager n’empêche toujours pas à ce jour les gens de mourir de leurs co-morbidités. Pour autant, contrairement au COVID-19, personne n’aura l’idée saugrenue d’attribuer la cause de leur mort à l’inoculation du vaccin, sauf cas exceptionnel sur lequel nous ferions bien de nous pencher. Iront-ils jusqu’à nous dire que la mort pourrait être qualifiée d’effet indésirable ? « Les cons, ça ose tout et c’est même à ça qu’on les reconnaît. »