CheckNews pris en délit de fake-news

CheckNews pris en délit de fake-news

Je m’intéresse de plus en plus à ces officines de fact-checking qui ont passé leur temps à nous désinformer durant la crise sanitaire. Et le pire, c’est qu’elles continuent !

C’est au tour de CheckNews, une émanation du journal Libération détenu par Patrick Drahi et dont le rédacteur en chef n’est autre que Dov Alfon militaire au sein Tashal à une autre époque. Il en est d’ailleurs le co-gérant avec Denis Olivennes, un ancien d’extrême-gauche converti au macronisme.

Le 3 décembre, un article sur CheckNews affirmait qu’Ursula von der Leyen avait fait une boulette en parlant de 100000 soldats ukrainiens morts au combat, avançant le chiffre de 13000 tués.

CheckNews pris en délit de fake-news

Pour une fois, Ursula n’avait commis aucune bourde, puisque ce chiffre avait été corroboré par les Américains un peu avant. Et l’information était sortie dans Courrier International dès le 10 novembre.

Ma question est la suivante : pourquoi ces gens osent-ils affirmer des mensonges aussi grossiers ? Je ne peux pas croire qu’il s’agisse là que de simple bêtise humaine, d’incompétence journalistique. Et, en creux, quel intérêt ont-ils à le faire ?

 

 

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4 replies on “ CheckNews pris en délit de fake-news ”
      1. C’est ce que j’ai cru comprendre en lisant ici et là des gens qui en parlent
        Moi je ne fréquente pas les putes, c’est interdit par la loi..

        Joyeux Noël

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