Grâce à Nicolas et à son KDB des confinés, la rencontre avec d’autres blogueurs aura été extrêmement stimulante. Nous nous sommes remis à écrire, à l’exception de quelques fainéants notoires. Avec cette crise sanitaire, tout le monde, je pense, a conscience que le macronisme n’est qu’un avatar de l’histoire politique de ce pays. Il est la synthèse molle de 37 années de vie politique française, nous ramenant tantôt au giscardisme, tantôt au hollandisme. Les Français sont allés au bout de l’exercice et demain sera un autre jour… électoral. Le souci, désormais, est de savoir comment nous pourrons nous éviter la Marine nationale.
Au cours de ces 8 semaines, au travers de ces 30 chroniques et 59 pages rapides à lire, je vous ai dit mes doutes, mes colères, mes joies, mes points de vue – souvent extrêmement tranchés, sans nuance – et aussi mes espoirs. Je suis particulièrement fier de ce que j’ai pu écrire sur la banalité du mal, Adolf Eichmann et Hannah Arendt.
Et encore un grand merci à Nicolas et une mention spéciale à Didier Goux pour ses expressions matinées d’un délicieux cynisme et d’une talentueuse ironie !
Chroniques d’un maire blogueur confiné
Un grand merci pour ces « coups de chapeau » largement immérités !