De Cherbourg aux geôles iraniennes : cette barbarie faite aux femmes !

De Cherbourg aux geôles iraniennes : cette barbarie faite aux femmes !

C’est le 4 août au matin que Mégane est retrouvée nue, en état de choc à son domicile. Elle vient de subir de la part de Oumar N’diaye un viol d’une barbarie inouïe qui s’est soldée pour la jeune femme de 29 ans par la perforation de multiples organes, allant de l’intestin au poumon, et des fractures multiples par l’usage d’un manche à balai. A l’hôpital de Cherbourg, les personnels soignants n’avaient jamais vu ça. Le choc est tel qu’une cellule de soutien psychologique devra être mise en place vis à vis de l’équipe médicale ayant pris en charge Mégane. La jeune femme est aussitôt plongée dans un coma artificiel afin de supporter un niveau de douleur exceptionnel. A sa sortie de coma le 6 septembre, Mégane dit se souvenir de tout ce qu’elle a subi. Le meurtrier arrêté le 12 août est bien connu des services de police notamment pour une tentative d’agression sexuelle sur sa propre soeur. Il n’a exprimé aucun regret, aucune empathie vis à vis de sa victime.

Je vous avoue mon effarement face au silence des journaux dits de gauche par rapport à cette acte de barbarie. En effectuant une recherche sur « megane oumar viol barbarie coma« , je n’ai trouvé qu’un seul article de Libération en date du 13 août, soit 9 jours après les faits. Rien sur la sortie du coma de la jeune femme dans Mediapart, Reporterre et Basta !

Je ne peux hélas m’empêcher de mettre en lien cet acte barbare avec les viols, la torture et les assassinats que subissent les femmes iraniennes dans les prisons du pays des Mollahs. Je vous incite vivement à regarder ce qui se passe en Iran en suivant les Lettres de Téhéran sur Twitter. Je me souviens encore de ces viols collectifs perpétrés par des migrants en Allemagne durant les célébrations du Nouvel an le 31 décembre 2015. Ces scènes de crime ont eu lieu également, dans des circonstances similaires, en Finlande, Suède, Suisse et Autriche.

Comme le faisait remarquer Elisabeth Badinter à l’époque, il faut arrêter d’être dans le déni, pour ne pas reconnaître que nous avons un sérieux problème de civilisation avec cette barbarie importée des pays arabes et africains. Pendant ce temps, Sandrine Rousseau cherche à démasculiniser – ou émasculer ? – la société française. Elle ferait bien, celle-là aussi, de regarder la réalité en face.

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