A l’exception notoire de Jean-François Delfraissy, Eric Caumes ou encore Axel Kahn, les médecins qui défilent sur les plateaux de télévision depuis mars 2020 ont en commun d’avoir été rémunérés d’une manière ou d’une autre par les labos pharmaceutiques et notamment par Gilead. Du coup, on comprend mieux leur acharnement contre Didier Raoult et le traitement Hydroxychloroquine/Azithromycine qui ne rapporte pas grand chose.
En allant consulter les données du site du ministère de la santé, vous pourrez mesurer la virulence de leurs propos à l’endroit du directeur de l’IHU Méditerranée en proportion du montant de leurs liens d’intérêts.
- François Raffi : 656 813 €
- Karine Lacombe : 250 108 €
- Gilbert Deray : 170 437 €
- Gilles Pialoux : 170 044 €
N’oublions pas non plus Martin Blachier dont l’activité ne doit pas l’amener à décrédibiliser la parole des autorités de santé et des labos avec lesquels il fait son business.
Didier Raoult a été victime de menaces de mort exprimées par le Docteur Raffi. Quant aux trois autres, il n’ont cessé de défiler sur C à vous, ainsi que sur les plateaux des chaînes d’info continue, sans qu’aucun des journalistes ne donne le montant exact de leurs liens d’intérêts. C’est ainsi que, le 10 novembre dans l’Express, Karine Lacombe affirmait de manière péremptoire : « Depuis le début, Didier Raoult est contredit sur toute la ligne« . Depuis le début, rémunérée par Gilead, Karine Lacombe nous a trompés sur toute la ligne.
Tous ces médecins ont dérogé aux règles les plus élémentaires de la déontologie. La question qui peut aujourd’hui assez légitimement nous assaillir est de savoir s’ils ont agi sur ordre, afin de décrédibiliser la parole d’un médecin dont l’efficacité du traitement a été corroborée par de nombreuses études cliniques dans le monde entier.
Si Delfraissy semble ne pas toucher à l’oseille, ça n’empêche pas de se poser la question sur la composition du conseil scientifique qui compte Yazdan Yasdanpanah, entre autres chiffré à 140 000 euros ou sur le choix du recrutement de ses membres à partir de leur organisation psychique .
Le conseil scientifique pond des avis régulièrement qui influent sur les opérations législatives liberticides, comme l’isolement contraignant (avis septembre) qui conduisent à d’autres endroits du monde à des camps d’isolement. Jusqu’où ?
La bande qui s’acharne sur Raoult devrait faire réfléchir les personnes qui ne sont pas mortes du ciboulot.. Il y a des vrais sujets à mettre sur la table qui ont constitué le délire paranoïaque en cours , ils sont les suivants :
Les solutions « non pharmaceutiques » (distance physique, capotes faciales, et autres gestes barricades, sont elles la solution pour résoudre une épidémie de coronavirus X annuelle (grippe, rhume, gastro, infections respiratoires aigües ) ?… pas sûr. Si c’était le cas pourquoi voit on poindre une « 2è vague » comme ils disent puis une 3èeme déjà en route ?
C’est vrai que pour les sidérés, vivre comme avant le 15 mars 2020, c’est se relâcher…
En revanche, si c’est la solution, nous allons être mis au trou pour des années. Tous les métiers tournant autour des arts, de la musique, métiers de bouche, bars , et même les toubibs, peuvent plier les gaules et changer de métiers.
Il y a des débouchés en vue comme vaccinateurs professionnels, gardiens de camps de conc .. heu d’isolement.., taxeurs de prunes à 135 balles, agents d’accueil de dénonceurs bon français… etc…
Il faut reconnaitre que c’est vachement bien fait ; si vous suivez les protocoles pondus depuis mars, on est toujours perpétuellement à deux jours avant une potentielle infection de 7 jours..
Des toubibs qui sortent du bois quand ils n’ont pas peur de se faire menacer ou suspendre par leur ordre, ont eu des solutions pharmaceutiques préventives à prodiguer à leurs patients en phase de « »signes évocateurs de COVID » ou à l’apparition de « suspicion de covid » selon le vocabulaire protocolaire en vigueur chez Santé publique ;
Ils s’en sont tous sortis… 90% de moins de 81,3 ans… dingue …
Les arguments de Karine Lacombe en réponse aux accusations de conflits d’intérêts sont recevables si on veut bien considérer que la plupart des scientifiques de ce domaine sont capables de conserver leur neutralité et leur probité malgré les financements octroyés par les pharmaceutiques. Évitons de sombrer dans la suspicion préventive.
Cela dit, ce que ces scientifiques n’ont pas compris (les politiques encore moins!) c’est que si le conflit d’intérêt est a proscrire, **l’apparence** de conflits d’intérêts l’est tout autant. Dans ce cas, ces gens devraient déclarer forfait pour une demande d’interview, au pire, les journalistes devraient citer clairement les liens entre l’interviewé et une quelconque organisation, à l’image de ce qui se pratique sur theconversation.com .
Oui, c’est ça. Les journalistes doivent faire leur boulot en indiquant le montant et la nature des conflits d’intérêts.