Humilier n'est pas gouverner.

Humilier n’est pas gouverner.

Il y avait les insiders et les outsiders, la France périphérique rurale des Gilets Jaunes et les élites mondialisées. Désormais, les Français se fracturent sur l’injection d’un vulgaire jus de chaussettes.

Or, comme nous l’autorise le Code de Nuremberg, nous sommes en droit de refuser des injections expérimentales que certains osent encore qualifier de vaccins. Nous sommes face à une expérience médicale sur fond de liens d’intérêts, de lobbying et de corruption généralisée. Pas un mot en France sur les effets secondaires. Circulez, y a rien à voir. Comme le nuage de Tchernobyl, les myocardites, les péricardites, les AVC, les thromboses, les cas de maladies de Guillain-Barré et de Creutzfeldt-Jacob, etc se sont arrêtés comme par miracle à nos frontières. J’ai bien sûr une pensée personnelle pour Marc Doyer et sa famille. Sa femme Mauricette a été victime de la tremblante du mouton quelques jours après sa 2e injection. Ce n’est pour elle plus qu’une question de semaines. Allez expliquer à Marc que le « vaccin » serait sûr. Je vous en souhaite.

Le « vaccin » serait même censé protéger des formes graves de la maladie. Alors, dans ce cas pourquoi Julie Le Galliard et la sénatrice canadienne Josée Forest-Niesing, double-vaccinées, immunodéprimées sont-elles mortes du COVID ? Le « vaccin » devait les protéger. Ce matin,  je suis tombé sur le cas de ce pauvre homme double piquousé, victime d’une forme grave expliquant aux non vaccinés qu’il fallait se « vacciner » pour éviter les formes graves. Combien d’anonymes sont morts des effets de ses injections ?  10000 selon les données de la pharmacovigilance américaine ? 30000 en Europe ? Pour la France, accompagné de très nombreux chercheurs, scientifiques et spécialistes, Laurent Mucchielli avait établi à fin août un nombre de 1000 morts de la vaccination pour la France. Mediapart, le journal de Monsieur Moustache, a décidé de dé-publier son article. C’est comme ça, en France, que les médias enquêtent. Emmanuel Macron leur a promis 500 millions en 2020. De quoi voir venir tranquillement sa réélection en 2022 contre la méchante Marine Le Pen ! Le pouvoir achète le silence de la presse et des journaux dans notre pays. Voilà où en est notre « belle » Ripoublique française !

Depuis le 15 septembre, comme tous les sous citoyens non vaccinés, je suis contraint de payer les tests pour pouvoir participer aux manifestations de ma commune que j’ai, pour la plupart, co-organisées. Il ne me sera plus possible, pour 24 heures seulement , de continuer à payer cette sorte de droit de péage permanent, donnant droit à être en société. J’avais jusqu’à présent fait un effort. De nombreux habitants, des enfants ne peuvent plus aller à la médiathèque de l’Interco fermée aux non vaccinés. Tous ces jeunes parents, tous leurs enfants ne peuvent plus participer à la vie de nos villages, à la vie associative, dans l’indifférence générale. En créant des sous hommes des citoyens de 2e zone, les valeurs de la République – liberté, égalité, fraternité – sont bafouées au nom de l’ordre sanitaire. Gouverner la France à coup de secret défense m’apparaît plus que suspect. Depuis le 12 juillet 2021, le gouvernement afin d’assurer la paix civile entre des classes dominantes de plus en plus riches et des classes moyennes qui s’appauvrissent a désigné les non-vaccinés comme boucs émissaires de tous leurs malheurs. Du René Girard dans le texte. Puis, patatras. Le « jus de chaussette » à base d’ARNm  ne protège ni de l’infection, ni de la transmission. Résultat : l’épidémie flambe chez les pays les plus vaccinés. Depuis mars 2020, tout ce que les autorités nous ont dit est factuellement faux.  « Pas de passe sanitaire et pas de conditionnement du passe à la 3e dose« , nous racontaient-ils la main sur le cœur. Concernant l’obligation vaccinale des soignants, elle ne sert évidemment à rien. Protégés ni de l’infection ni de la transmission, les personnels de santé double-vaccinés contaminent à tout va, faute d’être testés à la porte des hôpitaux et des EHPAD.

La semaine prochaine, nous devions recevoir des amis. Lui est un provax béat qui n’a rien trouvé de mieux que d’approuver les propos de Michel Cymes l’été dernier sur ces assassins de non vaccinés que nous sommes donc ma femme et moi. Ma fille a 7 ans. Elle n’est pas et ne sera pas vaccinée avec ces injections expérimentales. Cela en fait-elle une meurtrière pour autant ? Je suis resté zen sur le moment. Je ne pourrai plus l’être, après que cet abruti péremptoire de Michel Cymes s’est infecté tout en étant vacciné. Qui sont les criminels ? J’ai demandé à ma femme de prévenir son amie pour reporter notre rencontre. Je ne supporte plus la perméabilité des provax béats et arrogants – souvent des cadres sup qui ne s’informent de rien – à la manipulation, leur soumission au Nudge et aux mensonges d’État relayés par tous ces médecins de plateaux télés liés financièrement aux labos pharmaceutiques. Le gouvernement a cherché à monter les gens les uns contre les autres. Il y est d’ailleurs parfaitement parvenu, dans un contexte de tension de la société qui n’avait sans doute pas besoin de tout ça. Je n’avais pas envie le week-end prochain que nous en venions à nous fâcher, ce qui serait immanquablement arrivé. Il fallait protéger notre amitié. Et là, clairement, je ne réponds plus de rien sur cette question face à toute cette beaufitude et cette absence de discernement.

Mise en garde

Quand je suis allé manifester cet été à Rouen, j’ai vu beaucoup de militants d’extrême-droite. Nous arrivions à échanger, au delà de nos désaccords fondamentaux. C’est aussi ça la démocratie : se parler, dialoguer. A Bernay, ils nous ont reproché d’être trop mollassons. Et puis, ils se sont volatilisés ! J’espère juste qu’ils ne disparaîtront pas des écrans radars des RT et de la DGSI. Cette semaine, 130 armes ont été saisies par les douanes et les forces de police à Mesnil-en-Ouche chez un jeune militant d’extrême-droite. Comprenez qu’il s’agit là d’un signal faible. La dérisoire opposition des partis politiques français face au passe sanitaire, la complaisance des syndicats dans les cas de suspension des personnels soignants ont provoqué une radicalisation de toute une partie de nos compatriotes, dont le pouvoir n’a strictement aucun idée. Certains se sont armés et la répression policière n’y suffira plus. Macron est bien trop jeune pour se souvenir de ce qui s’est passé le 2 août 1980 en Italie à la gare de Bologne. L’extrême-droite frappe toujours aveuglément, après avoir cherché à viser des personnalités. La baffe donnée à Macron devrait nous alerter très sérieusement sur ce qui est en train de se tramer.

Chercher à humilier et à désactiver socialement des êtres humains peut avoir de très, très lourdes conséquences pour le pouvoir en place et pour notre avenir commun. Il est temps d’offrir une porte de sortie au plus vite aux 5 millions de personnes qui subissent l’ignominie et l’infamie. La France est en train de quitter et la République et et la démocratie.

 
4 replies on “ Humilier n’est pas gouverner. ”
  1. Ca me turlupine : combien de vaccinés pour aller au resto aujourd’hui chantaient les louanges du « monde d’après » l’année dernière ?

  2. C’est qui ce Roland Mucchielli ?
    Quelles sont ses compétences professionnelles ?
    Quelles sont ses sources ?
    Ce serait vraiment intéressant de les connaître.

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