Ce soir, après avoir bu un très bon Minervois et deux rhums arrangés, nous avons parlé de choses sérieuses. Cela fait un an et demi que nous ne nous étions plus revus. Mon père, président d’une association d’anciens combattants, s’inquiète de ce que sont devenus les morts, dont le nombre s’est effondré depuis plusieurs mois dans le département de la Vienne. Le confinement, le masque et le couvre-feu ont fait du tort. Côté vaccin, restons prudents quant à son efficacité à tuer les gens. Nous n’en sommes pas là… encore, malgré les myocardites, les thromboses et autres syndromes de Guillain-Barré.
Et, en effet, après lecture des rubriques nécrologiques dans l’édition du 13 juillet de la Nouvelle République concernant l’ensemble du département de la Vienne, nous n’avons comptabilisé que 11 morts. Et au regard de l’âge moyen auquel ces braves gens sont hélas décédés, j’ai bien peur que le P’tit Chinois n’y soit pour pas grand chose. A force, on pourrait même finir par douter de son efficacité à tuer les gens.
En bref, dans la Vienne, les morts ont disparu, à l’heure où nous allons devoir vacciner les non-vaccinés pour protéger les vaccinés. Vous suivez encore ? Pas moi.