Pourquoi le vaccin ne peut pas être la solution !

Pourquoi le vaccin ne peut pas être la solution !

Dès le début, les scientifiques – évitons de parler des médecins qui défilent sur les plateaux des chaînes d’information continue – nous expliquent que le COVID-19 n’est pas un virus immunisant. Après l’avoir contracté une 1ère fois, rien n’empêche donc que vous l’attrapiez une 2e fois, etc. C’est encore pire quand il s’agit d’un variant comme au Brésil, à Manaus, et en Inde, où beaucoup de gens ont été deux fois malades. Il faudra regarder avec attention les chiffres du Royaume Uni, Israël étant dans une autre logique de lutte contre l’arrivée de variants sur son sol.

Ces mêmes scientifiques nous expliquent, en cœur, que le vaccin n’empêche pas d’être infecté et contagieux. Sa seule utilité sociale serait d’empêcher les malades de développer des formes graves de la maladie, notamment chez les gros, les vieux et les immunodéprimés. Il n’est plus efficace, du fait qu’il est basé sur la 1ère souche, face aux nouveaux variants brésiliens et indiens. Or, ces nouveaux variants représentent 15% des contaminations dans notre pays. Le vaccin ne fait hélas que sélectionner d’autres variants plus résistants sur lesquels il n’a plus aucune prise !

Compte tenu des coûts de productions de ces vaccins et le prix payé par nos impôts qui viennent gonfler les profits des labos pharmaceutiques, aurons-nous les capacités, pour éradiquer l’épidémie, de produire 7 milliards de doses tous les 6 mois pour endiguer l’épidémie ? Vous avez la réponse dans la question. Le discours de nos dirigeants – légèrement atrophiés du cortex – est de nous vendre le vaccin, comme un somnifère, un doudou ou une tout-ouille administrés à des bébés pour permettre aux parents de dormir.

J’entends de plus en plus de « jeunes » vouloir se faire vacciner. J’y vois deux groupes. Il y a les gros d’abord, dont l’IMC est supérieure à 30. Ils refusent de mourir du COVID, alors que leur obésité réduit leur espérance de vie bien plus que le p’tit chinois qui, pour se reproduire, évite de tuer trop de gens à la fois. Ensuite, vous trouvez ces gens qui sont prêts à faire n’importe quoi, et par voie de conséquence à se faire vacciner, pour aller en concert, au Pérou ou en Grèce. Pour eux, j’ai beaucoup d’indulgence : ils en ont marre de ce grand claque-murage.

Je le répète : je ne suis pas un antivax. Bien au contraire. Ma fille est vaccinée contre la méningite. Elle sera vaccinée contre le papillomavirus. Mais avouez qu’il faut quand même avoir un pet au casque pour croire que le vaccin serait la solution pour éradiquer ce nouveau coronavirus sur une planète de 7 milliards d’habitants, où la libre circulation des personnes est devenue le genre humain sauf en Chine, Israël et quelques autres.

 
8 replies on “ Pourquoi le vaccin ne peut pas être la solution ! ”
  1. Pas sûr pour la libre circulation des personnes, de plus en plus surveillées, surtout en ce moment. En temps « normal », une lasagne à la viande de cheval circule d’ailleurs plus facilement que celui qui l’a fabriqué. Nous sommes plutôt dans l’ère du solutionnisme technologique triomphant, même si les gains de la technique sont de plus en plus inversement proportionnels à leurs effets supposément formidables. Un vaccin à ARN, c’est tout de suite plus classe et plus facile que de banalement tenter de perdre du poids ou vieillir en bonne santé.

      1. Et j’espère profiter des moindres rayons de soleil comme vous l’aviez justement conseillé il y a quelques temps. Même si là encore c’est pas une démarche très technologique. Zut alors! 🙂

  2. Ce n’est même pas un problème de pro ou anti vax, mais de phase III d’essai pour quasiment toutes les marques (la fin des essaies est entre 2022 et 2024 pour le plus lointain).. qui font de chaque vacciné un cobaye..
    Je vous passe tous les documents officiels qui le démontrent, et vous verrez même à l’occasion ce que savent les producteurs de vaccin…. qui se sont d’ailleurs exonéré de toute responsabilité, ce qui devrait faire réfléchir n’importe quel individu normal s’il s’était agi d’un frigo ou d’une télé..
    tout le reste c’est de la propagande honteuse…

    Ce qui veut dire en clair que dans le cadre d’une AMM « conditionnelle  » qui a été obtenue grâce au déni de tout traitement précoce par les maisons closes associées de l’état et des divers comités sanitaires

    Je ne vous parle que des fléchettes pas de l’arnaque totale constitués à propos de l’épidémie politique..

    Si je vous passe tout ce que j’ai sur le sujet de docs officiels, vous en avez pour 6 mois de lecture à temps plein

  3. Personnellement, je ne suis pas encore vacciné. Je suis surpris (ou plutôt, je ne le suis pas) de ne pas entendre ni lire, dans les médias, des membres du corps médical qui sont antivaccin. De même, on n’évoque pas les médicaments propres à traiter la maladie; sauf ceux du Professeur Raoult rapidement et hélas mis au rencart

    1. Quand on voit que Raoult avec son traitement a diminué la mortalité par 2, on a dû mal à comprendre l’interdiction de prescrire l’hydroxychloroquine avec l’azithromycine.

      1. Ce n’est pas la seule interdiction, il y a d’autres médicaments précoces cités ici et là mais je ne vais pas faire de l’ultracrépidarianisme ici

        En revanche ce qui est à ma portée de compréhension de manant du bled, c’est que la condition impérative pour obtenir une AMM conditionnelle (autorisation de mise sur le marché) qui est le statut des fléchettes géniques injectées aux clients en bonne santé, cette condition est que ne soient pas reconnues d’autres solutions de traitements de la maladie du corona star télécov2 (covid). Tout étant refusé…. coup de bol, il n’y a pas de solution..

        Quand on a bien suivi l’arnaque qui veut qu’il faille des protocoles d’essais très précis pour les médocs repoussés alors qu’il a été promu les remdésivir qui a fait glou glou………….

        On sait aussi que les producteurs sont éxonérés de toute responsabilité, les gens qui vont se faire mettre un jus qui en est encore au stade de l’essai pour toutes les marques pricipales, achèteraient ils un frigo, un congèle ou même une bagnole si le fabricant leur disait qu’elle n’a pas de garantie ou d’assurance en cas de pépin ?

        Il reste quand même une bonne raison de se faire piquer une « roulette russe » dans le biceps , celle d’aller au bistro boire un coup ou d’aller bouffer au resto

        Je vais faire mon rassuriste, on n’a pas fini de tomber des nues, lisez le dernier projet de loi de « sortie de crise sanitaire » (j’adore l’expression).. et je ne parle pas du pass sanitaire, mais des bricoles passés inaperçues qui implantent la dureté de la chasse aux futurs serfs sanitaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *