J’étais avec Maïté et nous devisions de choses et autres. Nous parlions de la peur-panique de Josée qui n’a pas voulu s’associer à nous pour les repas de Noël. A l’occasion d’un dépassement sur la route qui nous ramenait vers Roiffé, elle me dit, parlant de l’état de nos relations sociales à l’occasion de la crise sanitaire : « Quelque chose s’est définitivement cassé dans la société. »
En effet, être qualifié de criminel de la part d’amis au prétexte que nous avons fait le choix de ne pas recevoir en conscience et en responsabilité des injections expérimentales testées en 112 jours chrono à une fréquence de 3 mois m’amène à m’interroger sur le degré de bêtise d’individus que, finalement, je ne connaissais pas vraiment. De la même façon, j’ai un peu de mal à comprendre la majorité des personnels de santé, médecins et infirmières, qui ont injecté – notamment à des enfants – un produit expérimental élaboré en 9 mois, jamais testé sur l’être humain, dont nous découvrons les effets secondaires dévastateurs. Le gouvernement a eu l’intelligence d’acheter leur soumission à une doxa délirante, peu soucieuse du Code de Nuremberg et de leur propre code de déontologie. Comme j’ai envie de rester correct, je parlerais tout simplement de laquais mus par l’appât du gain.
Je ne chercherai plus à revoir tous ces gens de mon entourage qui ont tenu ou tiendront des propos infamant sur les non vaccinés. Jamais dans ma vie, j’ai demandé à ce que les fumeurs, les alcooliques, les drogués, les sportifs, les dingues du boulot aient à payer davantage à cause des ennuis de santé que leur génèrent leurs addictions. Le légitimisme putassier et bon teint à l’occasion de cette crise sanitaire me fait vomir, notamment quand il vient de gens de gauche réclamant à cors et à cris la vaccination obligatoire sans connaître les effets secondaires de long terme de ce jus de chaussette incapable d’endiguer l’épidémie.
Dès le mois de septembre, j’ai entendu des vieux chnoques exiger de leurs enfants et surtout de leurs petits enfants qu’ils soient vaccinés. Certains d’entre eux ont tenu à vérifier le passe sanitaire de leur progéniture pour manger à Noël une bien mauvaise dinde aux marrons. Cela valait bien un petit billet de la part de Papy et Mamie. Tout s’achète dans notre société.
J’ai la chance de n’avoir qu’un reste de famille, gosses et petits enfants, j’ai démissionné du conseil en juillet dernier et je n’ai gardé que les quelques copains qui ne me font pas chier, ils font ce qu’ils veulent de leur peau je m’en fous.
L’avantage c’est que moi j’ai accumulé des billes sur cette épidémie fantôme et il me faut deux heures pour le démontrer, point par point. Ca nécessitait de lire des milliers de pages, et de traiter des milliers de chiffres, ce que j’ai fait en deux ans..
Là je viens de traiter les codages hospitaliers, car des codes d’urgence U07 ont été utilisé depuis deux ans pour gonfler les chiffres du « covid ». Ce sont 500 000 séjours codés sur le CMD 4 « respiratoire » depuis 2020 qui ont été transférés en « codes d’utilisations particuliers ».
Un spécialiste DIM qui lirait ça, saura de quoi je parle.
Que les gens disjonctent du ciboulot si ils veulent, mais moi je ne vois pas pourquoi j’irai me mettre dans le biceps des produits sous secret des affaires juste pour me protéger de la bureaucratie sanitaire et médicale
sous ordres du politique ou du business.
A chaque fois qu’on me branche, c’est ma réponse et comme personne n’a cherché à comprendre ce qui s’est passé, ils ne peuvent même pas me traiter de complotiste puisque tout ce que j’ai lu, vient des services d’état qui sont d’une prudence incroyable dans leurs rédaction par rapport aux bordels des plateaux télés.
Mes gosses et mes petits enfants m’embrassent, je crèverai un jour de toute façon, alors autant que ce soit d’amour bordel..
« Quelque chose s’est définitivement cassé dans la société. » Cet épisode est surtout révélateur, comme le disait Raoult, de l’état d’anxiété dans laquelle se trouvent nos sociétés. Ce qui révèle, à notre échelle, la vraie nature ou conscience de certaines personnes de notre entourage. Des papies et mamies disent aimer leurs petits enfants, mais ils les aiment de façon nombriliste tant et aussi longtemps que ces petits-enfants représentent une sorte de continuité de leur existence. La vaccination des enfants, des jeunes en général et les fermetures de classes n’ont aucune utilité, sauf celle de rassurer (faussement) les gérontocrates qui refusent de vieillir (avec tout ce que cela implique).
Bonjour,
C’est réconfortant de vous trouver constant dans vos prises de position face au rouleau compresseur médiatique « embedded ». Le bon sens et la sémantique devrait interdire l’emploi du mot vaccin pour des injections qui n’empêchent pas la transmission. Il est hélas à craindre que le vaccin à virus inactivé de Valneva n’obtienne ses autorisations qu’après la liquidation des stocks des « machins » à ARN, si on se réfère au timing des précédents scandales sanitaires, politiques et financiers (amiante, chlordécone, sang contaminé ou médiator) !
On est d’accord, notamment sur l’aspect définitif de la cassure liée à la violence des propos tenus par les défenseurs du vaccin (et je l’ai dit dans mon blog). Par contre, la réciproque est vraie (se faire traiter de mouton ou d’imbécile parce qu’on a reçu une piqûre n’est pas drôle).
@Nicolas
Je suis d’accord avec toi.
La violence de l’institution à l’égard des personnes qui, comme moi, refusent ce vaccin est insupportable et risque d’amener certains d’entre nous à commettre des actes d’une violence tout aussi grande. Comme je l’ai écrit récemment, je suis certain qu’une personne politique de 1er plan va se prendre une balle dans les prochaines semaines.
Tout à fait d’accord. Moi aussi, j’ai rompu des relations.